L'éclairage: |
Six projecteurs à iode assurent à
la voiture une sécurité pour les trajets nocturnes
de part sa puissance semble-t-il étonnante. On compte
donc deux feux de croisements, deux de routes fixes et deux
de routes directionnels . |
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Sur la direction, un levier fixé sur le
boîtier relais commande par des tiges deux capteurs, un
pour le phare gauche et un pour le droit. Ces capteurs commandent
chacun par l'intermédiaire d'un tube de liaison les récepteurs
qui sont reliés aux optiques par des tiges. Les mouvements
engendrés provoquent donc la rotation des longues portées
dans le sens donné par la direction. |
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La puissance de l'éclairage
est telle qu'un système de réglage automatique
de la hauteur du faisceau est installé en série
sur la voiture. Il est relié au trains roulants par des
biellettes qui informent ainsi les capteurs de l'angle d'assiette
de la voiture par rapport au sol. |
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Pour éviter l'effet Yo-Yo concernant l'axe
horizontal du faisceau lumineux, un temporisateur fait office
de "tampon hydraulique" afin d'absorber l'amplitude
trop importante ou les mouvements trop rapides du système.
C'est un domaine où la SM avait plus de trente ans d'avance
car avec la génération des phares au xénon,
ce système réapparaît à la différence
qu'il est commandé électriquement et non pas par
le biais de l'hydraulique. |
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