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L'éclairage:
Six projecteurs à iode assurent à la voiture une sécurité pour les trajets nocturnes de part sa puissance semble-t-il étonnante. On compte donc deux feux de croisements, deux de routes fixes et deux de routes directionnels .
source photographique (Auto Passion N°4) Sur la direction, un levier fixé sur le boîtier relais commande par des tiges deux capteurs, un pour le phare gauche et un pour le droit. Ces capteurs commandent chacun par l'intermédiaire d'un tube de liaison les récepteurs qui sont reliés aux optiques par des tiges. Les mouvements engendrés provoquent donc la rotation des longues portées dans le sens donné par la direction.
La puissance de l'éclairage est telle qu'un système de réglage automatique de la hauteur du faisceau est installé en série sur la voiture. Il est relié au trains roulants par des biellettes qui informent ainsi les capteurs de l'angle d'assiette de la voiture par rapport au sol. source photographique (Auto Passion N°4)
source photographique (Auto Passion N°4) Pour éviter l'effet Yo-Yo concernant l'axe horizontal du faisceau lumineux, un temporisateur fait office de "tampon hydraulique" afin d'absorber l'amplitude trop importante ou les mouvements trop rapides du système. C'est un domaine où la SM avait plus de trente ans d'avance car avec la génération des phares au xénon, ce système réapparaît à la différence qu'il est commandé électriquement et non pas par le biais de l'hydraulique.